Execution ou nouvelle mission? [terminer]

Il avait une hache à la main... Keishi Tanaka était en possession d'une hache. Etrange, puisqu'il se répugnait à toucher d'autres armes que ses anneaux. Pourtant, on ne pouvait pas se trompé. Les gardes en étaient d'ailleurs inquiet: était-ce une nouvelle idée qui avait fleuri dans l'esprit de leur Maître? Une nouvelle idée pour enfin lancer l'assaut contre Meeger? Ou tout simplement voulait-il se déstressé ? La réponse était tout autre. Il s'amusait simplement à aiguisé ses anneaux, pour accueillir comme il se devait le commando Inuyama...

Voila se qui arrivait lorsque Keishi n'était pas tout à fait satisfait par le résulta des missions qu'il confiait. Bien sûr, le "petit" avait parfaitement remplit sa mission, sauf dans un seul point: les femmes étaient toujours vivantes, et cela ne faisait vraiment pas plaisir au Maître...
Pourtant... Le "petit" était un bon commando, malgré son jeune âge, et il serait dommage de tout de suite s'en débarrasser... Keishi voulait simplement lui rappeler certaines règles. D'ailleurs, en parlant de son âge, ceci agaçait sérieusement le Maître. Avoir un gosse dans sa Nébuleuse ne lui plaisait guère, mais il ne pouvait malheureusement pas contesté son talent...

"Maître, on vient de nous informé que Takeo Inuyama vient d'arrivé..."

En temps normal, Keishi aurait immédiatement tranché la tête de cet insolent. Mais ses anneaux avait été nettoyé, polis, aiguisé, bref, remis à neuf, et le jeune homme n'avait aucune envie de les resalir pour un simple garde. Il se contenta de lui faire signe d'ouvrir la porte...

Keishi jeta un coup d'oeil sur le commando. Il abordait sa tenue de combat... Tant mieux, cela éviterait à Keishi de lui en fournir une.
Le jeune Maître se leva, et se rapprocha du jeune adolescent. Il ne pu s'empêché de se faire la remarque qu'il était toujours aussi petit...

"Bienvenu mon cher..."

Le sourire qu'abordait Keishi était glacial, méprisant, dominateur... Les gardes commençaient sérieusement à croire qu'il était impossible de trouver le moindre signe de gentillesse dans son coeur. Ils avaient sûrement raison, et cela amusait beaucoup Keishi...
Il reporta son attention sur le commando, en affichant un air interrogateur.

"Alors... d'après ce que je sais, vous avez lamentablement échoué dans votre mission?"

Ce n'était pas le cas, bien évidement, mais la situation amusait Keishi, et il prenait du plaisir à rabaissé ses sujets...

Keishi eut un rictus de méprit, suivit d'un petit rire. Ce jeune garçon voulait donc une guerre sans trop de victimes? Un idéal... Il y en avait de plus en plus, et cela agaçait sérieusement le jeune homme. Comment une guerre peut elle avoir lieux sans victimes? C'était totalement impossible, surtout quand les deux dirigeants s'appelaient Lynn et Keishi, deux Maîtres insensibles, froids, prêts à tout pour vaincre… Mais surtout : se haïssant mortellement.
Mais comment faire revenir Takeo à la réalité sans le tuer ? C’était là un gros point faible chez le Maître…

Keishi resta silencieux de longues minutes, elles même de plus en plus pesantes, de plus en plus pénibles à supporter. Le silence ne l’avait jamais dérangé, mais cela n’était pas le cas de ses interlocuteurs. Surtout que, rien qu’en présence de Keishi, la tension règne en maître, mais si en plus personne ne parle…
Son regard fixé sur Takeo, le jeune homme affichait un air grave et inquiétant. Personne, à cet instant, n’aurait pu dire ce qui allait se passer… Se mettrait-il en colère ? Provoquerait-il le jeune commandant ? Ou bien le féliciterait-il ? La réponse ne semblait pas pressée d’arriver.

Au bout d’une bonne dixaine de minutes sans paroles, qui semblait avoir durée des heures, Keishi ouvrit doucement la bouche. Etrangement, il semblait calme… Cela n’était pas étonnant, lorsqu’on connaissait son caractère, mais ce qui était étrange, c’était qu’il ne paraissait pas en colère…

« Ainsi donc vous n’avez as tué toutes ses femmes uniquement parce que l’on ne vous en a pas donné l’ordre ? »

Un mince sourire s’afficha sur ses lèvres. Il aimait tellement prendre son temps… apprécier les discussion dont il était le Maître… Il aimait jouer avec les gens, les manipuler. Il était d’ailleurs connu pour ça, cette réputation le collait à la peau…

« Mais vous devriez savoir que toute occasion est bonne pour se débarrasser des femmes… Cela fait toujours des déchets en moins sur cette planète... »

Le ton qu’il employait fit frissonner chaque personne présente, mais il ne sembla pas y accordé une quelconque importance…
Soudain, un petit appareil accroché à sa ceinture se mit à vibrer. Il s’en empara, toucha deux ou trois boutons, et le fit disparaître de sa main aussitôt. Des mauvaises nouvelles… encore et toujours. N’y avait-il donc que des incapables sur cette terre ? Il fallait le croire.
Mais ce n’était pas la priorité pour le moment. Il fallait déjà rappelé le vraie but de cette guerre au jeune garçon présent en face de lui.

Il faisait froid, il faisait sombre dans la vaste salle. La main se Keishi avait agrippé un objet. Takeo, apparemment, cru que c’était un des deux anneaux de fer, mais il s’agissait en réalité d’une petite télécommande. Une seconde plus tard, le sol se mit à trembler, les murs à vibrés… Puis soudain, un flash aveugla les deux hommes, et lorsqu’ils rouvrirent les yeux… la salle n’était plus du tout pareille…

Le sol n’était plus ce métal froid et gris. C’était à présent de la terre brune. Au milieu de cette nouvelle salle se trouvait un grand « bassin » d’eau. Enfin plutôt un précipice d’eau. Les murs étaient à présent des immenses gradins, et cette nouvelle pièce était illuminée de chaque côté par un puissant projecteur.
Ils se trouvaient à présent dans une véritable arène.

[j’ai reprit les deux paragraphe d’au dessus d’un de mes autres postes -_-‘ navré lol]

Keishi observa Takeo, un sourire au coin des lèvres. Il allait enfin pouvoir de défoulé un peu, tant pis pour le commandant…

« J’espère que tu es prêt… »

Keishi n’attendit pas plus longtemps. Ses deux anneaux en main, il se précipitait vers Takeo.

[Ne m'en voulez pas si je prend un peu le control du combat, j'ai quelques idées que je voudrais mettre en partique]

Le Maitre ne répondit pas, il eut un petit rire et son visage se transforma en masque. Il faisait mijoter Takeo. Le silence se faisait pesant mais Takeo ne s'en souciait pas. La seule chose qui faisait remuer les entrailles du commando c'était l'air de Keishi qui restait le meme, comme figé dans une expréssion de pitié. Takeo aurait donné cher pour pouvoir expliquer son idée mais il devait attendre.
Plus le temps passait et plus Takeo s'attendait à voir Keishi déguéner ses anneaux et les jeter sur lui.
Un temps interminable s'écoulat.
Aucun des deux hommes ne fit un mouvement.

« Ainsi donc vous n’avez as tué toutes ses femmes uniquement parce que l’on ne vous en a pas donné l’ordre ? »

Non, ca c'était l'excuse pour les supérieurs. La véritable raison murement réfléchit était tout autre et il attendait toujours que le Maitre la lui demande.

« Mais vous devriez savoir que toute occasion est bonne pour se débarrasser des femmes… Cela fait toujours des déchets en moins sur cette planète... »

Un frisson parcouru l'échine de Takeo. Décidement son Maitre avait un bien bas opinion sur les femmes. Ou peut-etre était-ce ce qu'il tentait de faire croire...
Un bruit retentit, on tentait de contacter Keishi. Ce dernier y préta peu d'attention. Cela donna un sourire en coin à Takeo; le Maitre délaissait les nouvelle pour s'occuper d'un commando que les autres jugaient immmature? La suite allait sans doute etre interressante...

Le grand chef fit un rapide mouvement pour se saisir de quelque chose. Takeo dirigea se main vers sa lance, mais la retira en voyant que ce n'était qu'une commande.
Sans prévenir, la Salle tremblat et les lumières l'aveuglèrent. Il crut tout d'abord que les femmes avaient déclenché un bombardement et que la Nébuleuse était sous les tirs ennemis, mais en rouvrant les yeux, il s'appercut que la salle avait changé. La topographie des lieux était la meme mais les murs étaient à présent des gradins et le sol de la terre. Au centre de la salle se trouvait à présent un grand bassin. Son père ne lui avait jamais parlé d'une telle chose.

*Hologrammes...*

Il était... surpris. Un sourire se dessina sur ses lèvres, il allait enfin pouvoir se débarrasser de toutes cette pression.

« J’espère que tu es prêt… »

Il était meme plus que prêt, la seconde suivante, lance en main il parra les deux premiers coups.
Il avait longement réfléchit à ce combat. Il savait que seul le Maitre pouvait y mettre fin, d'une manière ou d'un autre.
Ne pouvant gagner, son objectif était de s'en sortir avec le moins de casse possible.

Takeo ne faisait que parer les coups de son adversaire, et Keishi les distribuait à une vitesse impréssionnante. Mais aucun des adversaires ne semblait se donner à fond; pour Keishi ce n'était sans doute qu'un avertissement et Takeo n'avait rien à prouver au Maitre, qui savait ce que le commando valait.

Contre un autre adversaire possédant les memes armes il aurait continué de parer les coups jusqu'à ce que l'adversaire fasse une erreur, mais là, il se battait contre le Maitre, il savait que cette erreur ne viendrait pas...
Il savait que d'un simple mouvement, Keishi pourrait lui arracher sa lance donc il la tenait fermement. Mais avec un anneau dans chaque main, les coups venaient de plusieurs cotés et Takeo avait de plus en plus de mal à paré les coups. Le rythme du combat augmentait, à chaque seconde les adversaires attaquaient plus rapidement et Takeo, à présent, esquivait plus les coups que ne les parrait.

Afin de réduire la difficulté du combat, Takeo tenta une attaque sur l'anneau que Keishi tenait de la main gauche et, en plantant sa lance au centre de l'anneau, il pivota en décrivant un tour complet afin d'arracher l'arme de la main de son adversaire.
L'anneau s'écrasa sur la rive opposée mais ce mouvement l'avait laissé sans défense fasse à une contre-attaque de Keishi. Le Maitre frappa et le coup lui entama la cuisse. La blessure était plus étendue que profonde mais Takeo devinat que le Maitre aurait pu le couper en deux. Cette plaie fit se déverser en lui un flot d'adrénaline qui le fit sourire. Plutot que d'arréter le combat, Takeo passa à l'offensive. Si le Maitre lui avait donné une chance, autant lui prouver que ce n'était pas pour rien.
Il donna des coups à une vitesse qu'il n'avait jusque là jamais atteinte. Il se donnait au maximum, il avait atteint le stade où il ne pensait plus, il agissait. Et c'est dans ces moments qu'il était le plus dangeureux.
Il enchainait coups sur coups, ne laissant pas la possibilité à Keishi de contre-attaquer.
Il feinta une attaque sur sa jambe gauche mais frappa l'épaule droite, démunie alors de protection.
Une petite entaille se traca sur l'épaule se Keishi et un fin filet de sang dégoulinat.
Ce n'était qu'une égratinure comparé à ce que Takeo avait à la cuisse mais c'était tout de meme quelque chose.
Takeo, surpris par sa propre action, fit cinq pas en arrière et attendit, la lance pointée vers le bas, de voir si le Maitre voulait continuer. Peut-etre meme allait-il lui poser LA question.

[pas de problème ]
Le combat devenait de plus en plus rapide, de plus en plus violent, de plus en plus effréné… Il devenait même impossible pour les simples gardes présents de distinguer leur Maître du commando, et ils auraient d’ailleurs volontiers déguerpit si il ne savaient pas ce qui les attendait dans ce cas là…
Démunit de son anneau spécialisé dans le combat à distance, Keishi savait qu’il avait intérêt à le récupérer très vite. Lors des combats avec ses « sujets », il ne se donnait bien évidement jamais à fond, donc il ne craignait pas la défaite. Mais le fait d’être séparé d’une de ses armes le mettait dans une rage folle, et il risquait de tuer « malencontreusement » Takeo si sa colère éclatait.
Son jeune adversaire enchaînait les coups à vitesse grand v. Sa petite taille lui permettant de se déplacer très vite, il savait profiter de cet avantage, et Keishi ne parvenait parfois à éviter ses attaques que de justesse. Il fut d’ailleurs blessé à l’épaule, se qui eu pour effet de décupler sa rage, bien qu’elle ne fut pas visible. Sur son épaule, des gouttes de sang chaud dégoulinèrent tel un petit ruisseau, pour venir salir son t-shirt… Rapidement, ce dernier prit une teinte rougeâtre.

Keishi fixa son regard sur Takeo, ses yeux gris pâle, aussi froid que de la glace le scrutant dans les moindres détails…
Les deux hommes restèrent ainsi à s’observer, durant des secondes qui semblaient durer des minutes entières… Puis, lentement, Keishi se dirigea vers son anneau. Il se pencha vers lui, et le ramassa délicatement, de ses longs doigts fins.
Il resta quelques secondes immobile à le fixer, puis hocha doucement la tête de gauche à droite, en se murmurant à lui-même… :

« Quel gâchis… »

Son regard se replongea dans celui de son adversaire. Dans la vaste salle, il régnait une tension particulièrement désagréable, à rendre digue… Mais le silence était également présent. On pouvait presque percevoir le souffle des deux combattants.

Puis, sans prévenir, Keishi lança l’anneau qu’il venait de ramasser en direction de Takeo. Le cercle en métal s’agrippa à la tenue du jeune commando. Mais la scène ne se termina pas là ; la vitesse de l’anneau combinée avec la force du lancé de Keishi entraîna le jeune homme dans sa course, pour finir… dans le bassin d’eau.
Le sol fut inondé, et Takeo ne semblait pas vouloir revenir à la surface. Mais Keishi ne semblait pas s’en faire : si Takeo ne savait pas nagé, il serait dévoré par les créatures présentes dans le bassin, donc Keishi n’aurait pas à faire le ménage.
Puis le jeune homme refit surface, respirant une grande bouffée d’oxygène. Le Maître s’approcha du bassin, une main sur les hanches.

« Vous n’avez pas répondu à ma question, M. Inuyama… :
Pourquoi n’avez-vous pas tué ces Femmes… ? »

[Ouac! J'avais pas saisie le sens de la question (faut dire que tout c'est echainé trés vite...)]

Aucune expréssion.
Le Maitre gardait le meme masque que depuis le début de la conversation.
Le sang de sa blessure teinta rapidement son T-shirt qui eu rapidement la meme couleur que le pantalon de Takeo.
Aprés un seconde éternité, il se contenta de se diriger vers son deuxième anneau.
Keishi regarda tout d'abord son anneau puis fixa de nouveau le jeune soldat.

L'arme partit à une vitesse ahurissante, mais Takeo pouvait l'éviter.
Chose qu'il ne fit pas, le Maitre avais décidé la fin du combat et Takeo devait payer le prix pour l'avoir touché. Prix qu'il allait payer.

L'anneau ne fit que lacérer sa tenue mais le trait avait une telle force qu'il le projeta en arrière, dans le bassin.

Le bain forcé était exactement ce qu'il lui fallait. Il allait pouvoir reprendre ses esprit et calmer ses ardeurs. Il se maintint pendant un certain temps sous la surface pour remmetre ses pensées en ordre, puis remonta à la surface. Là, il fit la planche afin de bien enregistré ce que le Maitre allait dire (car si il était encore en vie c'était bien pour une raison).

« Vous n’avez pas répondu à ma question, M. Inuyama… :
Pourquoi n’avez-vous pas tué ces Femmes… ? »

On y venait enfin, il attendit pendant une minute pour se rappeller les propos qu'il avait tenu à son lieutenant. Il finit par sortir, l'effet de l'adrénaline commencait à se dissiper et il ressentait à présent la douleur de ses plaies. Il commenca à les examiner.

"Je ne les ai pas tué car j'ai regardé la situation depuis le point de vue du dirigeant adverse. Un bataillon revenant aprés un si cuisant échec tomberait immédiatement en disgrace. Ce bataillon serait proie aux railleries des autres et on leur confierait de moins en moins de mission."

Takeo ne cita pas le nom de Lynn car il savait que le Maitre ne supportait pas ce nom.
Il déchira une partie de son pantalon pour faire un garot de fortune à sa jambe et stopper l'émmoragie

"Ensuite, le fait d'avoir été épargner par des hommes leur ferat se posé ces questions: sont-ils vraiment les monstres que l'on nous décrit? Somme-nous vraiment dans le bon camp? Puis vient une question simple: qu'est ce qui est le plus dangereux pour notre ennemis? Un bataillon enterré six pieds sous terre ou un bataillon vivant qui doute et qui se sent rejeté? C'est pour cette raison que, à partir du moment où elles ne représentaient plus de danger pour ma mission, je les ai abandonné dans les ruines de la centrale, immobilisées et inconscientes"

Il avait finit d'examiner ses plaies et passait à présent à son équipement.

[dsl, mon mess est court mais je dois vite partir rapidement ^^]

Keishi attendait patiemment, ou du moins d’un air qui semblait patient, la réponse du commandant. Le fait de le voir totalement trempé, baignant dans un bassin remplit d’une eau de couleur suspecte lui faisait ressentir une certaine satisfaction. Vous avez dit sadique ? Sûrement, mais il en était plus que fier.

Les bras croisés, le regard froid -pour changer-, le jeune homme écouta la longue tirade de Takeo, sans vraiment l’entendre. Pourtant, chaque mot était parfaitement compris. Keishi eut une impression étrange en écoutant le jeune commandant… comme si il avait apprit ce qu’il devait dire par cœur, comme une poésie qu’un professeur demanderait de connaître, et que l’on réciterait d’un air distrait. Distrait, c’était le mot. Takeo ne se donnait même pas la même de le regarder. Il préférait examiner ses blessures. Heureusement que Keishi était de bonne humeur… il n’aurait pas supporté cette attitude en temps normal.
Quelque chose attira son attention ; l’arme de Takeo semblait en mauvais état. Tant pis pour lui, après tout…

Keishi étouffa un bâillement, et se pencha vers Takeo d’un air amusé.

«J’espère pour toi que c’est vrai…»

Il avait plus murmurer ces paroles qu’autre chose, et cela rendait son ton encore plus glacial… Il se releva et, d’un claquement de doigt, le même flash éblouissant qu’il était apparu il y a maintenant une heure les aveugla une seconde fois. La salle avait reprit exactement sa forme initiale, et le bassin avait disparu. D’ailleurs, Takeo se trouvait à présent assit au plein centre de la pièce, et totalement sec.

«Bon... je vous laisse pour cette fois. Aller prendre l’air, cela vous fera certainement le plus grand bien… »

Le message était très clair : Keishi voulait que Takeo disparaisse de sa vue, et vite…

Sa tunique était déchirée, son pantalon fichu et sa lance ne se repliait plus.
Sa cuisse le faisait souffrir et il était crevé!
Décidement, sale journée pour lui...

Keishi bailla peu aprés que Takeo eu finit, comme si il n'avait pas écouté ce que le soldat avait à dire. Cette réaction tira une conclusion à Takeo: la Maitre avait deja envisagé cette idée et il ne l'avait pas jugée digne d'intéret. Rien de surprenant venant du chef des hommes...
Le Maitre se courba vers lui.

[J'ai pas retrouvé la couleur utilisée.]

«J’espère pour toi que c’est vrai…»

Bien sur que ca l'était. Takeo ne pensait qu'à gagner la guerre.
Et pour gagner une guerre, il fallait penser autant au plan psychologique qu'au plan physique.
Keishi se releva et n'eut qu'à claquer des doigts pour que la meme lumière les aveugles et les ramènes dans la salle...
Il était de nouveau sec.

«Bon... je vous laisse pour cette fois. Aller prendre l’air, cela vous fera certainement le plus grand bien… »

Il en avait effectivement bien besoin. Il devait passé à l'infirmerie et récupérer un équipement convenable.
Il voulut demander à Keishi si il était toujours suspendu de ses fonctions mais le Maitre n'était visiblement pas d'humeur. De toute facon il devait quitter Tarak pour Key afin de faire réparer sa lance par celui qui l'avait crée: Ashtaka Nate. Si les gardes des portes de Tarak le laissait partir, cela signifiait que ses fonctions était rendu mais si le contraire arrivait, il serait sans doute mis aux arrets de rigueurs pour avoir tenté de quitter la ville alors qu'il était suspendu.

Il prit conger du Maitre et se dirigea vers l'infirmerie, les gardes s'écartèrent à son passage comme si il n'était pas humain.
Toutes les personnes qui le croisaient le regardaient fixement et semblaient se demander si ils n'avaient pas en face d'eux un démon vomit de l'enfer.
Mais Takeo avait pris l'habitude de ce genre de regards puisque devoir traiter un "gamin" comme un commando de haut niveau lui avait valut de nombreux regards interloqués.